La cité interdite
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Il est des instants magiques
Où l'on croit juste apercevoir
La cité au loin interdite
Dans le fond si bleu
du miroir
Alors on se frotte les yeux
Mêlant le sable et les
larmes
A ce qui semble un aveu
L'esprit altéré par le charme
On s'efforce à créer le mirage
Pupilles écartelées
rougies
Et l'on devine dans l'Hommage
Un coeur qui bat, un coeur qui luit
Le vent chaud du désert nous pousse
A rêver de lacs et de
fleurs
A imaginer la jolie frimousse
D'une fée d'un monde d'ailleurs
La soif qui brûle les lèvres
Rend le chant de l'oiseau
meilleur
Et son vol qui n'est plus que fièvres
Suit le sud comme indicateur
busard
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